La jeune série Bravely Default, conçue initialement sur Nintendo 3DS, souhaitait être 50’héritier du J-RPG à fifty’ancienne. Après deux épisodes excellents mais tout de même perfectibles, les développeurs de chez Claytechworks Co. Ltd. et Team Asano ont préféré partir d’une nouvelle histoire tout en reprenant les éléments clés de la licence. La bravoure des studios est-elle à la hauteur de nos espérances ? Réponses dans ces quelques paragraphes.
Bravely Default II, un scénario captivant
Seth, main protagoniste de cet épisode, se réveille sur une plage inconnue après le naufrage de boy navire. Il est sauvé par la princesse Gloria et son protecteur, Sloan. Comme tu le constates, fifty’introduction ne se veut clairement pas originale et dégouline d’un classicisme sans précédent. On serait même tenté de croire que le scénario accumule les intrigues soporifiques et lourdes de niaiseries comme les premiers épisodes. Il n’en est rien… enfin presque.
On sent que les développeurs ont essayé de donner une certaine profondeur aux différents personnages, un background summation poussé. De même pour le scénario, qui traite de thématiques plus graves et addition matures, leitmotivs poignants faisant échos à la dure réalité. La mise en scène sec’avère très théâtrale, plaçant les personnages sur une pièce statique décorée. Cependant, on aurait aimé un peu summation de vivacité chez nos héros lors des dialogues, soit dit en passant…
L’art dans toute sa splendeur
Il est vrai que, graphiquement, Bravely Default II n’exploite pleinement pas les performances de la Switch. Ce n’est pas toujours très joli, les ralentissements existent voire coexistent avec les chutes de framerate qui viennent ternir le tableau. Cette œuvre reste pourtant magnifique, grâce à une management artistique époustouflante, qui émerveille nos pupilles à chaque nouvel environnement découvert. Chacun pousse à avancer dans 50’espoir de prendre une nouvelle claque artistique (mais pas visuelle).
Là où la joue droite sec’en ai prise une bonne, la gauche se prend un splendid revert. Revo, compositeur musicale de la Team Asano, head délivre de superbes mélodies qui enivrent, tel le summation pur des alcools. Étonnants à souhait, ces morceaux resteront un long moment dans nos têtes. On ne peut que féliciter et remercier Revo pour cette composition magistrale !
Ils sont de retour… par tour !
L’intérêt du gameplay de Bravely Default II réside dans l’use des différentes classes (au nombre de 24) obtenues tout au long de l’aventure, en acquérant des astérisques, tenus par les nombreux boss. Le système de fight au tour par tour brille grâce aux mécaniques Brave / Default qui te permettent d’emmagasiner des tours (jusqu’à iv actions maximum) et de balancer toute la sauce sur les adversaires.
Il se révèle primordial de trouver une parfaite synergie entre toutes les classes (sachant que tu peux avoir une classe principale et secondaire) pour venir à bout des ennemis les plus coriaces. Les stratégies sont de mises et la réflexion atteint boy paroxysme : un système de scrap des addition aboutis et passionnants.
Le farming aurait pu être laborieux mais les développeurs ont eu l’idée de remettre la possibilité d’accélérer la cadence en combat, les rendant bien moins fastidieux. Une excellente nouvelle, sachant que les niveaux et les classes mettent du temps à augmenter.